Découvert en 1821 en France, à Baux-de-Provence par Pierre Berthier, l’aluminium à la particularité d’être le métal le plus abondant sur l’écorce terrestre et le troisième élément le plus abondant après l’oxygène et le silicium. L’aluminium appartient au groupe 13 du tableau périodique, son symbole est Al.

Contrairement à beaucoup de métaux, l’aluminium ne rouille pas ce qui évite des traitements chimiques polluant pour le protéger.

Le fer par exemple corrode au contact de l’eau et l’oxygène, créant de l’oxyde (de la rouille).

La présence d’oxyde est synonyme de corrosion, donc de fragilisation des métaux comme le fer ou l’acier. Pour éviter ce phénomène il est essentiel de traité les métaux avec des produits et des procédés chimiques plus-ou-moins polluants.

A l’inverse, l’aluminium mis à nu, s’auto-passive immédiatement par oxydation, même en condition défavorable : une couche d’alumine Al2O3 imperméable épaisse de quelques nanomètres le protège de la corrosion.

Une matière première de qualité

A ce jour, la France ne produit pratiquement plus d’aluminium, les plus grosses ressources viennent d’Australie, de Chine, d’Inde, du Brésil et de Guinée qui détient à elle seule le quart des ressources mondiales. Nous prenons un soin tout particulier à choisir une matière première de qualité issue de mines ne faisant pas appel aux enfants et produisant suivant un cycle vertueux de partage aux populations autochtones.